En réponse à :
30 octobre 2010, par marc
La grande traversée.
Le vent est bien établi du nord, pour tout dire le Mistral souffle de plus en plus fort. C’est donc en aval du barrage de Donzère, sur l’ancien bras que je mets à l’eau.
Le courant est assez vigoureux et le départ s’effectue rapidement poussé par le vent et porté par le courant il n’est point besoin de pousser sur les pagaies.
Le fleuve s’étire entre deux rives verdoyantes pas de route ou de chemin, des champs et des vergers. Comme d’habitude au fur et à mesure que l’on (...)