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1er avril 2009, par marc
Dans ce petit matin de mai 2007 nous poussions avec ardeur sur nos pagaies pour rejoindre le départ de la Vogalonga.
La lagune paraissait immense, au loin les campaniles de Venise dessinaient un horizon lointain.
Des innombrables pieux plantés dans la vase s’envolaient des mouettes criardes, le vaporetto bondé nous dépassait et les vagues de son sillage chahutaient notre frêle esquif.
Nous longions les premières îles, simples langues de sables désertes ou iles déserte aux palais abandonnés, (...)