30 mars 2010, par marc
La montagne ardéchoise ça perche pas loin de mon nid d’aigle de l’avenue Foch...
Déjà pour aller embrasser mon papa et ma maman cet hiver j’avais découvert cette route qui chemine le long des sommets pour rejoindre la vallée du Rhône. Mon chemin avait croisé l’Auberge de Peyrebelle... l’auberge rouge !
Et puis je suis retourné me balader dans les ruines de l’abbaye de Mazan...
Et voilà par un triste jour de ce printemps balbutiant ... Une voix de ma vie s’est tue... un peu plus bas en descendant (...)
19 mars 2010, par marc
Ces pompes je les avais achetées un jour comme ça avec Marie sur Tunali... oh mais attention on prononce « tunaleu »... Tunaleu, avenue artère prospère et commerçante de la capitale d’Atta Turk. Bon mais piéton d’Ankara je suis resté piéton tout court et forcémment le piéton use ses godasses c’est bien connu...
Alors de trottoirs en chemins de traverse devenu piéton du Velay, je suis allé faire ressemeler mes pompes chez le cordonnier du coin...
Mais le piétion peut aussi avoir des velléité de (...)
10 mars 2010, par marc
Enfoiré d’Alcazar je t’aurai … Je t’ai loupé dans la grande mare aux harengs … je suis arrivé trop tard mais je ne lâche pas le morceau, alors Le Karaboudjan en escale à la Spezia, non je ne le crois pas... encore un tuyau crevé...
Et ben oui ... mais au fond de l’arsenal je te jure que j’ai vu l’Amerigo Vespucci qui rafistolait sa mâture... Un barlu de légende celui là...
Oh ça va …
Il faisait doux, il faisait bon sur le port de la Spezia, les remorqueurs sagement amarrés attendaient le client, un porte (...)
25 février 2010, par marc
Tout était de la faute de Mathilde de Toscane, dite aussi Mathilde de Briey ou de Canossa … La Ligurie est un pays de loups c’est bien connu l’hiver dans les chateaux des hautes terres il faut avoir le cuir épais pour résister aux vents qui soufflent des montagnes. Je pouvais m’estimer heureux j’avais échappé au musée des carrelages de Ravenne où voulait m ’entrainer Marie mais la Castafiore lui avait bourré le mou et c’est ainsi que nous nous sommes retrouvés à Canossa.
La neige recouvrait encore (...)
17 février 2010, par marc
C’est un petit graisseur malais qui m’avait refilé le tuyau un soir d’hiver sur le quai d’occident. La compagnie prenait des passagers et justement l’Imperium of the sea faisait escale le lendemain pour charger des grumes à destination de Yokohama.
Bof le Japon qu’irai je y faire ? Charlotte était partie et ce salopard de Mitsuhirato ne manquerait pas une occasion de me jouer une entourloupe de première. Non décidément on ne m’y prendrait pas, peau de balle, je ne quitterai pas le Puy comme ça... (...)