26 avril 2006, par marc
Dar es Salaam, la Marne, navire de commandement et de ravitaillement de la flotte française de l’océan Indien est en escale dans le port.
Comme c’est d’usage la communauté française de Tanzanie est invitée à bord pour une réception.
Directeur de l’école française, je termine, quelques heures auparavant, une réunion de travail avec le chargé d’affaire de l’ambassade. L’heure du cocktail arrive, très aimablement ce dernier m’invite à l’accompagner dans sa voiture pour rejoindre le navire.
Traversée rapide (...)
16 avril 2006, par marc
Les deux extrêmes ...
16h30 je travaille tranquillement dans mon bureau, la babouchka préposée au ménage entre dans mon bureau en maugréant et tempêtant et m’invite à la suivre dans les toilettes...
Ces petits chenapans n’ont rien trouvé de mieux que de boucher la cuvette en introduisant des oranges...
Et voilà le directeur à quatre pattes, le veston enlevé et la manche retroussée qui se transforme en déboucheur patenté...
17 h - Deux grosses limousines s’immobilisent devant le perron de l’école. (...)
14 avril 2006, par marc
Avions nous vu ce jour là ce que nous n’aurions jamais dû voir ???
Pour ce voyage de retour vers Sofia depuis Lyon nous transitions par Zurich. Le vol Lyon Zurich était un saut de puce au dessus des Alpes, un très beau vol au dessus des sommets enneigés. Nous aimions passer par la Suisse, privilégiant la compagnie nationale suisse... Air France nous ayant gâché tant de vacances avec ses grèves à répétition... Pourtant cette fois là, nous devions rejoindre la Bulgarie par un vol de la Balkan.
Les (...)
13 avril 2006, par marc
Expériences maudites du communisme triomphant...
La Bulgarie dans les années 82/88 était un peu considérée comme la seizième des républiques soviétiques. Tout était calqué sur le modèle du grand frère.
Si la présence et "l’accompagnement" policier étaient pour nous moins pesant qu’en Roumanie, il n’en demeurait pas moins que nous nous devions de respecter certaines règles et en particulier éviter certaines "zones interdites" du pays. Pourtant un jour nous avons pénétré par hasard dans un de ces espaces (...)