29 novembre 2010, par marc
Les bizarres croisières des kayaks pliants gonflants et gondolants s’échoueront probablement désormais ici :
Parce que les tout petits voiliers, les coques de noix, les canoës et les kayaks tracent bien souvent de plus beaux sillages que les gros bateaux qui ne vont pas tous sur l’eau…
Parce que les hommes et les femmes, les vieux et les gamins qui les font naviguer sur les mers, les lacs et les rivières racontent de si belles histoires.
Parce que le bout du monde est au fond de ton jardin. (...)
29 novembre 2010, par marc
Ce sont quelques trente ans qui séparent ces deux photos... Des plaines de Valachie au plateau altiligérien.
De grands espaces aux routes incertaines propices aux petites balades autour de la maison.
Voyages concentriques : le jeu n’a pas changé et ne changera jamais.
28 novembre 2010, par marc
Mince alors !
Mais oui, pas d’erreur, amarré au quai des grands Yacht face aux anciens docks des magasins de coton : le Shéhérazade le yacht de Rastapopoulos !
Le renseignement était bon, un de mes informateurs m’avait refilé le tuyau : Tournesol aurait transité par le port de Gênes et Rastapopulos trempait dans la combine...
Le temps de jeter un coup d’oeil sur mon indicateur des chemins de fer, d’envoyer un câble à ma correspondante de Milan et j’avais sauté dans le premier train direction (...)
30 octobre 2010, par marc
Epilogue
Après cette dernière navigation le Mistral forcit encore rendant la navigation délicate. Les rafales frisent les trente noeuds, sûr qu’avec un bateau bien préparé et une voile adaptée les glissades doivent être fabuleuses !
Mais je ne suis pas bien équipé et nous décidons simplement de rallier Arles par la route pour visiter le musée des antiquités et surtout l’exposition des fouilles du fleuve pour découvrir enfin la fameuse tête de César...
Le terrain de jeu reste donc ouvert avec la (...)
30 octobre 2010, par marc
La grande traversée.
Le vent est bien établi du nord, pour tout dire le Mistral souffle de plus en plus fort. C’est donc en aval du barrage de Donzère, sur l’ancien bras que je mets à l’eau.
Le courant est assez vigoureux et le départ s’effectue rapidement poussé par le vent et porté par le courant il n’est point besoin de pousser sur les pagaies.
Le fleuve s’étire entre deux rives verdoyantes pas de route ou de chemin, des champs et des vergers. Comme d’habitude au fur et à mesure que l’on (...)